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Comment vivre sa puissance et s’épanouir en étant hypersensible et surefficient ?

Marie-Pierre Devaux • Emergence

En physique, la puissance est la quantité d’énergie par unité de temps fournie par un système à un autre. Dans cette optique, un des enjeux que connait l’être humain pour s’épanouir est d’exprimer sa pleine puissance intérieure dans un projet extérieur avec un maximum de cohérence, d’efficacité et donc de fluidité. Cela passe d’abord par reconnaitre et cultiver son monde intérieur pour pouvoir l’ exprimer en toute authenticité, plaisir et sans usage intempestif de force. Objectif ardu pour toute personne qui souffre de ses différences. Effectivement, certaines personnes sentent que leurs émotions sont amplifiées avec l’impression de percevoir le monde d’une manière plus intense… avec l’impression de trop penser : ce sont les hypersensibles souvent surefficients mentaux. La première caractéristique de leur cerveau est d’être hyperesthésique ; terme scientifique consacré pour désigner une acuité exceptionnelle des cinq sens ce qui les amènent à vivre un quotidien, bombardé d’informations pouvant engendrer de l’incompréhension et une certaine marginalisation auprès de leurs pairs. C’est que dans l’idéologie commune, l’émotivité est bien trop souvent considérée comme un défaut, et ne pas montrer ses émotions témoignerait d’une grande force de caractère…Voici une proposition sommaire de quelques leviers d’évolution pour assumer et transformer l’hypersensibilité en une véritable puissance créatrice.

 

1/ Trois pistes pour commencer à s’épanouir et trouver un sens à sa vie en tant que surefficient hypersensible :

Trouver sa pleine puissance relève d’abord d’une vérité corporellement ressentie pour l’hypersensible. Comme nous le verrons plus loin, la richesse et la surabondance d’émotions venant du monde intérieur d’un surefficient avec le sentiment de ne pas savoir réellement quoi en faire vis à vis du monde extérieur brouille les pistes et l’amène à adopter un faux self pour être accepté socialement. Et jouer, voire très bien jouer un autre personnage que soi est loin de renforcer l’estime de soi,  et annule toute confiance en ses réelles capacités pour se projeter dans l’avenir.

a/ Le premier axe d’évolution est donc de cultiver sa puissance intérieure en étant cool avec soi et en se respectant pour qui l’on est vraiment.

Cela passe par le monde physique c’est-à-dire le corps qu’il faut détendre le plus souvent possible (la puissance passe par le corps !) car le surefficient a ce besoin de ressourcement encore plus prégnant que les autres du fait de son hyperesthésie.  Cela passe par agrandir ses circuits énergétiques pour être conscient et stable à la fois sur ce que l’on est. Les besoins de l’hypersensensible en ressourcement sont vitaux aux vues des sursollicitations de l’environnement qui ont tendance à le submerger et que ce soit par le biais de la méditation, du sport, de l’hypnose, de l’imagerie mentale etc… -Il existe un large panel d’activités qui peuvent concourirent à la recherche  de sérénité et d’alignement entre les pensées, les images et les sensations pour renforcer une intention- il est primordial pour lui  de trouver le moyen de restaurer sa boussole intérieure par l’intelligence du corps. C’est le besoin vital à assouvir afin de pouvoir se reconnecter à son monde intérieur, commencer à s’apprécier et  sentir sa puissance monter.

b/ Le deuxième axe est de donner une information à cette puissance intérieure pour savoir quoi en faire, l’extérioriser, lui donner du sens et pouvoir faire émerger un réel projet personnel.

L’hypersensible ne choisit pas avec son mental comme la plupart des normopensants mais avec ce qu’il ressent des choses. Par exemple, plutôt que de choisir une voie professionnelle en fonction des centres d’intérêts, études, avantages, salaire, vacances etc… il lui sera préférable de se mettre en situation corporellement et surtout émotionnellement,  de cotoyer  des personnes inspirantes pour ressentir joie et énergie à leurs côtés en s’appropriant l’expérience, puis décider en connaissance de cause de les rejoindre en se galvanisant de son énergie  innée pour s’emparer du projet et le mener tambour battant !

c/ Le troisième axe est d’être capable de poser des actions quotidiennes à l’extérieur en restant aligné avec son énergie intérieure, sa puissance personnelle.

Etre pleinement dans le moment présent en profonde cohérence avec soi et investi dans des actions qui ont un sens profond est absolument déterminant pour s’ancrer dans la réussite de défis majeurs. C’est aussi la condition sine qua non pour l’épanouissement d’un surefficient qui a besoin sans cesse de sortir de sa zone de confort pour apprendre et par là même, pour sa contribution à des missions sociales d’envergures par la mise à disposition de ses précieuses ressources. Bien entendu, le jeu en vaut la chandelle  même si cela demande effort et persévérance et organisation pour lui.

2/ Reconnaitre sa différence pour cultiver sa puissance intérieure :

a/ Assumer son hypersensibilité :

Même si l’hypersensible surefficient se plaint d’un mental qui ne lui laisse aucun répit avec son côté hamster qui tourne à toute vitesse dans sa roue, même s’il en a marre de ses doutes, de ces questions, de cette conscience aiguë des choses, de ses sens trop développés auxquels n’échappent aucun détail, le sentiment de honte est son pire ennemi en particulier face au regard des autres. Comprendre qu’il n’y a aucune honte ou cupabilité à ressentir fort et à trop penser, au contraire est essentiel. Pour enfin combattre non pas la sensibilité, mais la façon dont elle est perçue par le monde et que tout à chacun à intégré socialement malgré lui.

Communiquer : La force de la parole et de la compréhension permet aussi d’éviter les malentendus et les jugements à l’emporte-pièce. La solution la plus évidente est d’expliquer à l’autre son fonctionnement et ses spécificités. On ne peut pas partir du principe que l’autre sait, et qu’il doit alors comprendre. Il faut nécessairement prendre le temps de mettre en lumière ce qui nous traverse, les déclencheurs comme les réactions internes.

Etre différent et fier de l’être sans orgueil ni prétention, c’est intégrer que ce n’est pas systématiquement à l’être surefficient de s’adapter à la société et ce qu’elle définit comme étant la norme, c’est aussi à la société et aux personnes qui la composent d’accueillir la multiplicité incroyable d’êtres humains qui fait la richesse du monde. Arrêter d’essayer d’entrer dans la case du normal en cultivant un faux self est le premier pas vers  l’acceptation de soi.

b/ Prendre conscience de ce câblage neurologique différent : 

La première caractéristique d’un cerveau qui pense trop est d’être hyperesthésique. C’est donc le terme scientifique pour désigner le fait d’avoir les cinq sens dotés d’une acuité exceptionnelle. C’est aussi un état d’éveil, de vigilance voire d’alerte permanente. Le mieux est de prendre un exemple pour illustrer cette grande capacité à percevoir d’infimes détails ou des nuances imperceptibles pour la plupart des gens. Et bien que souvent gênés par le bruit, la lumière ou les odeurs, les hyperesthésiques ne réalisent pas que leurs perceptions sensorielles sont hors norme. N’oublions pas que le premier souci est de se fondre dans la masse, de s’adapter par un faux self.

  • Première visite de Pierre chez sa thérapeute / 10 minutes chrono : “…J’entre dans la salle d’attente. Je suis pile poil à l’heure ! Personne. Comment gérez-vous vos rendez-vous ? Vous paraissez assez bien organisée pour ne pas faire attendre les gens. Vos revues datent un peu. Un bon pourcentage sont des numéros de”…, revue un peu trop”… à mon goût. Seriez-vous abonnée à cette revue ? Auriez-vous voté”… Horreur ! Je regarde par la fenêtre : pas génial. Je me sens opressé. Cette haie trop proche de la fenêtre tue toute perspective. J’entends votre voix, je devine votre physique. Je vous imagine grande, charpentée. J’entends vos talons sur le parquet, je n’aime pas le son de ce parquet, c’est froid, ça manque de chaleur dans le rythme. Mais pourquoi avoir mis des talons alors que vous êtes déjà grande ? Je vous vois, bingo, exactement comme je vous imaginais. vous me serrez la main. Je vous aurais facilement embrassée pour avoir plus d’infos, mais bien évidemment je ne le peux pas. je me contente de votre poignée de main. Je l’apprécie, elle est ferme mais pas trop. Vous n’êtes pas parfumée ou peu, avec un parfum léger. Je préfère, je déteste les parfums trop forts ou simplement trop de parfum. J’analyse votre robe, beaucoup de couleur, ça flashe, c’est près du corps.  Vous n’avez aucun souci avec votre corps, vous vous plaisez, ça se sent. Vous devez plaire aussi, ça se sent. Vous êtes bronzée, j’imagine que vous aimez la plage. Vous avez peu de bijoux. Cela vous correspond. Je pense que vous préférez un bracelet un peu fantaisie, qu’un en or ou trop voyant. J’analyse vos mains, je le fais chez tout le monde. Les votres me plaisent. C’est très important pour moi. Je me détends peu. Je reste méfiant. Je me dis qu’il serait facile pour vous de me manipuler. Tout ça ne vous est pas réservé, je vis perpétuellement comme ça !…”

 

Cet exemple montre un type de pensée spécifique au cerveau droit, dit en arborescence. Il est particulièrement efficace en recherche de solutions. Là où la pensée séquentielle (fonctionnement cerveau gauche) enchaîne une idée après l’autre de façon linéaire, cette pensée explore simultanément et parallèlement de nombreuses pistes de réflexion. Cela se fait naturellement et inconsciemment. Le travail est extrêmement rapide, au point que la solution semble s’imposer d’elle-même. Cela explique sans doute les éclairs de génie ou les prises de décisions rapides. Les surefficients savent et sont la plupart du temps incapables d’expliquer pourquoi. Comme le dit si justement Christel Petitcolin  dans son livre : Je pense trop. Comment canaliser ce mental envahissant – Editeur Guy Trédaniel , la pensée arborescente peut aussi être comparée à un aéroglisseur. Il lui faut un certain seuil de stimulation pour se mettre en route, mais dès qu’elle atteint sa pleine puissance, elle vole au dessus des données avec une rapidité enivrante. Ce cerveau a besoin que les choses soient compliquées pour être performant. Quand ce cerveau est sollicité à plein, qu’il est en limite de décrochage, tant le nombre de données est important et tant la complexité du problème est ardue, le surefficient mental ressent une jouissance aiguë. A ce moment là, c’est délicieusement bon d’être surefficient et de mesurer la puissance de son cerveau. On pourrait dire :”Y’en a sous le capot !” Pourtant, le surefficient ne retiendra que les moments où il est distrait et peu concentré pour juger de ses capacités intellectuelles et aura surtout tendance à les nier.

Nombre de lycéens surefficients butent sur les programmes du bac parcequ’ils trouvent leur contenu absurde et déconnecté de la vraie vie. Tout cela manque de sens et les ennuie profondément. Il suffirait parfois de replacer l’apprentissage en cours dans le programme plus vaste de l’année scolaire ou de leur expliquer quelles applications concrêtes de ces apprentissages peuvent être faites dans le quotidien pour que les cours repennent tout leur sens. Il y a aussi la possibilité de leur montrer le bac en analogie à un de leurs jeux vidéos : Ils ne s’interrogent pas tant sur la pertinence de trouver un glaive, un élixir, une bague pour avancer dans le jeu. L’important est juste de marquer des points pour passer au niveau supérieur.

Il en va de même avec les études. Si on n’aime pas la matière, on peut néanmoins l’apprendre pour avoir les points nécessaires pour faire autre chose ensuite. Le bac peut également leur être présenté comme une passerelle vers ce qu’ils ont très envie de faire comme études et par extension projet professionnel. Chaque matière est une des lattes de cette passerelle. Et comme les cerveaux suefficients adorent les défis, présenter cet apprentissage ennuyeux comme un défi en soi peut suffire à réveiller l’intérêt.

3/ Bien vivre avec sa surefficience et respecter ses besoins :

Pour optimiser le fonctionnement de votre cerveau particulier et être dans le mieux-être social, il est essentiel que vous connaissiez vos besoins  réels qui n’ont rien du luxe ni du caprice. Si l’un de ces besoins n’est pas rempli, votre cerveau sera en souffrance avec à l’issue du processus un état dépressif latent.

a/ Nourrir son cerveau d’apprentissage :

Ce cerveau adore apprendre. Sans apprentissage, il rumine et déprime  et surtout dépérit. Faîtes-vous plaisir : qu’est-ce que vous adoreriez apprendre ? Dans quel domaine l’école vous a frustré en ne faisant qu’effleurer une matière qui méritait d’être approfondie ? Il y a sûrement des programmes scolaires dont vous avez loupé la subtilité parce que le contenu était mal présenté ou que le prof était antipathique. Dans un coin de votre tête, vous pouvez le regretter ; j’aurais dû m’intéresser davantage à… Vous pouvez aussi développer vos capacités dans tous les domaines : décoration, jardinage, cuisine, bricolage… qui vous relient à votre pouvoir créatif par le biais du corps. L’essentiel à comprendre est qu’apprendre est vital pour votre santé.

Quoique que vous désiriez apprendre, vous le pouvez. Il y a deux règles de base :

Si vous ne comprenez plus c’est que vous êtes en train de compliquer quelque chose de plus simple que vous ne le pensez. Apprendre nécessite une phase de persévérance. Même si ça devient un peu complexe ou ennuyeux, c’est un cap à passer. Accrochez-vous et régalez-vous !

b/ Faire du sport :

Le sport va vous aider à canaliser cette incroyable énergie. Et si vous n’en faîtes plus et que vous vous étiolez,  je suis sûre que vous réalisez que cela vous faisait un bien fou et à quel point cela vous manque de bouger. De plus, le sport aide à combler le déficit de sérotonine et vous bourre de dopamine, votre drogue favorite. C’est certainement par le sport et la relaxation que vous pouvez le mieux améliorer la qualité de votre sommeil. Faites un trou dans votre emploi du temps pour y caser le temps nécessaire pour vous y défouler.

c/ Exploiter sa créativité :

Un cerveau surefficient est fait pour créer. Qu’il s’agisse de création manuelle, intellectuelle ou artistique, votre cerveau doit pouvoir imaginer, inventer, concevoir, fabriquer, produire, construire… Non sollicité sur un projet excitant, il erre dans ses arborescences, s’ennuie et déprime. Alors, il se déconnecte des réalités quotidiennes et finit par se demander à quoi il sert.

Idéalement, cette créativité devrait être la première raison d’être de votre activité professionnelle. Il y a un énorme gâchis à ne pas exploiter à fond la force créative des cerveaux surefficients. Le plus désolant est quand un surefficient travaille dans une fonction purement exécutive, largement en dessous de ses capacités intellectuelles, sans autonomie, écrasé par la lourdeur institutionnelle. Pour les surefficients mentaux, la scolarité devient en général problématique à partir du collège. Beaucoup d’entre eux n’ont pas pu faire d’études à la hauteur de leur potentiel en grande partie parce qu’il s’ennuyaient à l’école. Heureusement, même si la scolarité a été un désastre, ils peuvent trouver leur épanouissement dans une activité professionnelle créative et autonome. L’artisanat et les professions libérales sont les orientations les mieux adaptées. ces filières allient autonomie et créativité. En entreprise, les patrons devraient apprendre à repérer les surefficients pour pouvoir leur donner tout ce dont ils ont besoin pour être performants :  chaleur humaine, encouragements, autonomie et défis personnels leur permettant de décupler leur force de travail en devenant de petits miracles pour l’entreprise.

Sans cette créativité exercée, certains surefficients peuvent même aller jusqu’à se sentir bloqués dans une espèce d’anorexie intellectuelle, d’hébétitude, de no man’s land mental. Il est indispensable de restaurer votre créativité en l’exerçant. Le rêve est essentiel à votre équilibre. Il permet de s’évader du réel, pas toujours agréable à supporter, il met du positif dans les pensées et surtout il est la lampe de poche avec laquelle vous allez pouvoir explorer les possibilités de votre vie. Explorer vos rêves tranquillement jusqu’à ce qu’ils puissent se transformer en projets est votre voie.

d/ De l’art :

Indépendamment de votre besoin de créativité, votre cerveau a besoin d’art, c’est-à-dire de “beau” au sens le plus large. Et même si l’art n’est pas à priori utile pour la survie de l’espèce humaine, il existe depuis la nuit des temps, sous toutes les latitudes et dans toutes les cultures. Comment expliquer ce phénomène ? L’art nourrit notre sensorialité et nous fait vibrer d’émotions. C’est pour cela que l’art se joue des frontières, des cultures, du niveau socioculturel des gens et rend tous les humains potentiellement égaux, tant qu’ils leur reste cette capacité à s’émouvoir, bien sûr. Ne seront donc jamais concernés les gens qui prennent l’art pour une futile et onéreuse perte de temps. Les hypersensibles sont des boules d’émotions : l’art leur donne un espace pour exprimer et ressentir des émotions positives et intenses. On connait l’aspect utile de l’utile, on oublie malheureusement trop souvent l’aspect utile de l’inutile, l’acte et surtout l’effort gratuit, éphémère et altruiste, n’ayant d’autre but que de créer du ravissement.

e/ De l’affectif allié à une bonne hygiène de vie pour augmenter votre taux de sérotonine pour retrouver une humeur paisible, un sommeil récupérateur et un appétit régulé.

  • Des protéines pour mieux synthétiser la sérotonine, donc avant tout parfaire une alimentation protéinée. On sait aujourd’hui que la baisse du taux de sérotonine peut également générer une addiction au sucre. Si vous êtes addict au sucre, pensez-y.
  • Du sport : ensuite, la quantité de sérotonine libérée dans le système nerveux central augmente avec l’activité physique. Le sport est donc votre allié de bonne humeur. Beaucoup de surefficients mentaux ressentent intensément le besoin de faire du sport et souffrent ou s’étiolent si ils se privent d’activité physique.
  • Des projets : de même, la dopamine, pouvant s’appeler ” hormone de l’excitation de la nouveauté” favorise la synthèse de la sérotonine. En ayant toujours des projets nouveaux et motivants en cours, vous combattrez efficacement la dépression et l’ennui. Inversement, le stress est l’ennemi de la sérotonine.
  • De la relaxation : avec votre amygdale hypersensible, il est vital de mettre en place une gestion du stress optimale et d’apprendre à vous relaxer. Sophrologie, hypnose, yoga, méditation sont autant de pratiques qui peuvent aider à l’amélioration du sommeil donc à une restauration d’une vie de qualité. Enfin pour l’affectif, les surefficients qui sont des bisounours en puissance ( ils ont des montagnes d’amour à donner, ils savent aussi en recevoir) ont besoin de faire le plein d’ocytocine et de sérotonine en vivant avec des gens de bonne volonté ayant les mêmes valeurs qu’eux. Ils doivent donc devenir sélectifs dans le choix de leurs intimes… et éviter leurs prédateurs : les manipulateurs pervers pour qui ils sont sont les principales victimes.

Donc si vous apprenez à respecter et prendre soin de tous les besoins de votre cerveau, vous allez optimiser son fonctionnement et vous épanouir pleinement en sortant de l’image “du vilain petit canard” qui vous colle à la peau et commencer à voler en  mode albatros. Etre surefficient ne sera plus une calamité mais une bénédiction !

Si toi aussi, tu te sens vraiment bloqué(e) dans ta puissanceet que cela t’empêche d’avoir les résultats dans ce que tu recherches, parlons en très prochainement. N’hésite pas à me contacter :

www.emergence-mariepierredevaux.com

Coaching sportifs de haut niveau région PACA, Lyon et France

 

 

 

 

 

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